SANTE BUCCO-DENTAIRE « Risques et bonnes pratiques »

La maladie carieuse et ses complications 

Quelque soit l’acte clinique envisagé, il sera adapté en fonction du risque de carie individuel, c’est-à-dire du risque pour un individu donné de développer des caries. Pour évaluer ce risque, le dentiste tient compte de la présence de caries ou de plaques bactériennes visibles à l’œil. Il doit rechercher à l’aide de questions ciblées les mauvaises habitudes alimentaires, les mauvaises habitudes d’hygiène bucco-dentaire.

Pour limiter le risque de caries individuel faible, il faut :

  • Avoir une alimentation saine et équilibrée;
  • Eviter le grignotage entre les repas ;
  • Effectuer un brossage quotidien efficace (après chaque repas et aussi avant d’aller au lit) avec du dentifrice fluoré ;
  • Consulter régulièrement un médecin-dentiste (2 fois par an);

En cas de risque de caries individuel élevé, il est nécessaire de faire : 

  • Scellements des sillons des molaires permanentes ;
  • Application professionnelle de produits fluorés ;

 

Les malocclusions et les dysfonctions à intercepter

Une malocclusion est un rapport irrégulier de la fermeture des dents.

Si de nombreux adolescents portent des appareils orthodontiques, c’est parce que certains problèmes ne peuvent être évités. Chez un enfant qui hérite, par exemple, de grosses dents du côté paternel et de petites mâchoires du côté maternel, un traitement orthodontique s’impose.

Cependant, le médecin-dentiste peut intervenir à différents moments de la croissance par de simples conseils, la prescription de rééducation ou par le port d’appareillage pour intercepter (c’est-à-dire éviter l’apparition voire l’aggravation des malocclusions et celle des dysfonctions).

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